A quoi vaut un air tranquil et serain ,
qui sans secousses pour les poumons,
emplit les veines de régulières caresses ?
Si par faiblesse, le silencieux serment
du sang et l’hoxygéne, pousse le cérvaux
au quatre coins d’un éternel refrain.
A quoi vaut cela ? Si toute est attente
du lendemain. Et si sans césse la tete,
qui rebondit les murs, voudrait s’enfuir
par le plafond, mais par lacheté ou par
paraisse, vient se coucher au sol, les yeux
fermés par les Demons. C’est la routine,
elle te cajole. Faut-il cédér ?
A quoi vaut cela ? Quand tout est attente
du lendemain, j’écarte les passions
de ma sévère raison, et je défonce
le toit du temps qui devient mol. Je vol
en quete de ma réponse, Je frole les ciels
des saisons puissentes. Puisque tout est…
attente, chercher, voilà la belle action.